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avoir une belle pelouse

Publié le 6 Décembre 2014 par A.M.L in astuce

Les sept points clés pour avoir une belle pelouse :

1. Choisir les graminées

Tous les gazons ne sont pas égaux face à la sécheresse. Pour une pelouse sobre, optez pour des mélanges comportant au moins 50 % de fétuque qui s’accommode mieux de la sécheresse estivale.

2. Combler les trous

Votre gazon ressemble-t-il à un gruyère ? Bouchez les trous : ameublissez le sol, semez à la volée, ratissez légèrement en recouvrant d’une fine couche de terreau. Tassez enfin avec une planche et arrosez en pluie fine.

3. Scarifier deux fois par an

La mousse adore l’humidité ! Utiliser un scarificateur, au printemps et à l’automne, est l’action la plus efficace à mener contre elle.

4. Enlever les adventices

Contre les mauvaises herbes, il n’y a pas de miracle. Une méthode simple et efficace consiste à prendre le temps de les enlever à la main…

5. Nourrir son gazon

Vous voulez une solution pour lutter contre les mauvaises herbes et la mousse ? Apportez un engrais bio à votre pelouse. Bien nourrie, l’herbe résistera mieux. Pensez également à laisser l’herbe de la tonte sur place : elle renferme de l’azote. Elle enrichira le sol.

6. Tondre, mais pas trop

Certes, c’est la tonte qui fait le gazon. Passer la tondeuse une fois tous les quinze jours suffit amplement… Réglez la hauteur de coupe à 5 ou 7 cm. L’opération n’a que des avantages : elle diminue les besoins en eau et prive les mauvaises herbes d’espace pour se développer.

7. Maîtriser l’arrosage

Arroser avec parcimonie - C. Hochet - Rustica

Le gazon supporte très bien la sécheresse… mais il jaunit. Pour conserver un petit espace vert près de la terrasse, effectuez un bon apport d’eau une fois par semaine, de préférence le soir ou le matin. Pour une grande surface, la consommation est telle qu’il vaut mieux y renoncer.

Le choix du bio

Tondre moins, arroser peu et laisser l’herbe coupée sur place… tous ces gestes sont sans conteste écologiques.
La pelouse fleurie reste encore la plus naturelle. Il existe deux possibilités.
Le gazon ja­po­nais recèle des graminées auxquelles on ajoute des ­fleurs basses telles les pâquerettes – 2 ou 3 tontes suffisent.
La prairie fleurie, constituée d’un mélange d’annuelles, de bis­annuelles et de vivaces, ne se tond pas du tout et n’a besoin d’aucun entretien. Les auxi­liaires vont trouver là gîte et couvert : c’est une solution pour favoriser la biodiversité.


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